Si les matins du monde ressemblent au chant des orgues
Immobiles et pétris par les assauts du temps,
Si rien ne reste, que nos ombres dans le reflet
Sauvage et fier d'un vaste flot d'indifférence.
Tu me diras encore la chaleur de l'instant,
Tu me diras enfin que l'univers est nôtre.
Tu me diras enfin que l'univers est nôtre.
Et je pourrai sentir au creux de ton regard
La douce éternité de notre connivence .
Et nous pourrons renaître, et nous pourrons danser,
Poussières oublieuses de l'univers immense.
Photos prises sur les bords de la Cèze le 28 septembre 2016.
MAGNIFIQUE!!!💮
RépondreSupprimerMerci Annie.
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