En lisant le blog de mon ami François, ancien Sagien, je me suis dit que son article sur son jardin de parisien méritait une réponse normande, histoire de lui remémorer la douceur et la modeste splendeur de notre petit désert commun : l'Orne.
Un matin de juillet entre les dards d'un soleil indécis
(Paroles d'André Balzer et Jacques Chabiron)
Un instant de brume
Dans une ouverture du temps
Il s'élève, il s'élève
Dans un reflet de sang
Comme une parcelle de lumière
Comme l'orage éclaire le vent
Ivre d'extase, le voleur
Dérobe l'herbe de couleur
L'huile d'éther qui voile l'air
Et l'on quitte la Terre
Comme une parcelle de lumière
Comme l'orage éclaire le vent
Regarde, j'ai volé l'extase ! J'ai les yeux pleins de lumière.
Regarde, j'ai volé l'extase ! Ils reflètent un mystère.
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Le Voleur d'Extase tiré de l'album "L'Araignée-Mal"
Atoll (1975)
Note : malgré les allusions évidentes de la chanson, je ne fume aucun produit de mon jardin...
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