Plutôt qu'un récit, voici un poème à propos de ce rassemblement Kikouroù organisé par le génial, généreux et ombrageux Khanardô qui, pour cela et beaucoup d'autres choses, patinera pour toujours sur la fine glace de mes sentiments...
Les Combattants de la Liberté
Perdus dans l'herbe folle de l'indifférente immensité,
Loin de l'enveloppante impureté des bras aimants d'une société aveugle,
Férus d'Absolu, nous sommes des enfants au corps vibrant, au regard d'aurore.
Nos cœurs brisés, nos corps aux cruelles écritures brillent parfois d'un dur éclat.
Mais jamais la solitude ne prend d'assaut nos rêves coruscants.
Car, malgré les hurlements étouffés du chant lancinant de nos vies calcifiées,
Le cœur glacé de l'abandon ne peut brûler nos vies de sa flamme céruléenne.
La main, le regard de l'autre nous anime, ravivant l'Eternité qui nous habite.
Nous marchons, nous courons, nous aimons...
... nous vivons.
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