samedi 1 avril 2017

Vers une herméneutique quantique

Le vingt et unième siècle, s'il connaît d'ores et déjà des bouleversements au niveau  de la compréhension phrénologique de l'appréhension sociale de la phénoménologie structurelle, a des grandes chances de subir une révolution techno-cognitive autrement plus prégnante en ce qui concerne l'application ingéniologique de la théorie des quanta élaborée par Max Planck dès le début du vingtième siècle.

Même si un grand nombre d'applications ont vu le jour très tôt comme l'effet photo-électrique très connu ou  l'effacement ailurophobe de Schrödinger moins connu, c'est bien dans les prochaines années que se prépare une véritable révolution trans-scientifique qui verra tomber bien des barrières dogmatiques au niveau de l'épistémologie sociale dont les méta-modèles sont en pleine expansion.

Mais c'est à l'étage humain que se situe la véritable révolution et c'est au niveau d'un nouveau structuralisme basé sur une phénoménologie sartrienne adossée au post-modernisme d'un Derrida ou d'une déconstruction à la Deleuze. L'eccéité même de l'homme du vingt et unième siècle pourrait bien voir entamer une montée en puissance de l’idiosyncrasie réifiante constitutive de la dégradation ontologique de la perception combinatoire. Pour preuve de nouvelles techniques comme le "Quantic Potential Measurement" maintenant utilisé dans la nouvelle administration américaine dont la preuve de l'efficacité n'est plus à faire. 

Les quanta (pluriel de quantum) et leurs applications fort nombreuses actuellement ont enfin permis d'éclairer le public sur la réalité de bon nombre de pratiques au niveau des sciences et de la médecine. C'est en reprenant les théories d'Heisenberg sur les similitudes entre le pont Einstein-Rosen et la contrafactualité du comportement des molécules d'eau (de l'infiniment grand à l'infiniment petit) que le professeur Benveniste a finalement trouvé le chemin le menant à prouver la véracité factuelle de la mémoire de l'eau, véritable acrasie intellectuelle et scientifique. Sans Max Planck ou Niels Bohr, l'homéopathie en serait restée au niveau d'une sympathique pratique empirique alors que, reprenant les travaux de ses aînés, Benveniste a mis en lumière l'aliénation entre les molécules et leur mémoire, un "trou de ver" quantique, une logique événementielle et statistique au niveau de l'infiniment petit.

Et si ce n'était qu'au niveau de l'eau...  Une acatalepsie partielle des sciences du vingtième siècle avait occulté bien des pratiques anciennes comme le Reiki  que Mitsao Usui remit au goût du jour et que de nombreux scientifiques japonais considèrent maintenant comme un véritable transfert d'énergies combinées propres à engendrer une modification chiasmique des propriétés corporelles. Combinée à une lithothérapie issue des dernières recherches sur le rayonnement quantique des cristaux, cette pratique révèle un autre homme et même un homme autre, une sorte de "Cogito alter ego sum".

Pour rester clair et concis, on peut juste noter que le principe d'intrication quantique explique enfin nombre de phénomènes jusqu'alors mystérieux et cela ne peut qu'engendrer une nouvelle pensée de décohérence structurelle qui attend ses nouveaux théoriciens comme ses futurs contempteurs. Une formidable bataille au niveau de l'aséité culturelle et morale est à venir. Espérons que se lèveront de nouveaux penseurs à l’éthologie organologique solide capables d'appréhender de manière globale un monde conceptuel aussi vaste que grandement ichtyologique.



Pour approfondir votre réflexion, un article passionnant sur le Blog de Tonton Gilles.

 

1 commentaire:

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